LES VERTS RETROUVENT DES COULEURS !

Pour ce deuxième match de la saison à domicile et devant un public un peu moins nombreux qu’à l’accoutumée, les Verts accueillaient Le Puy dans une opposition qui voyait s’affronter deux équipes qui n’avaient pour l’instant connu que la défaite.

Pourtant le premier quart ne sera pas placé sous le signe de la fébrilité !
Un festival offensif pour les deux équipes où les attaques prennent clairement le pas sur les défenses. A ce petit jeu, le SOPCC s’en sort le mieux et vire en tête à la fin ce quart-temps.

Fin du 1er quart-temps : 31-24

Le deuxième quart sera sans aucun doute le plus abouti côté SOPCC, une défense retrouvée et une adresse extérieure toujours présente permettent aux Verts de creuser un écart conséquent et de plier quasiment le match à la mi-temps.

Mi-temps : 62-41

Le début du deuxième acte va marquer un semblant de révolte côté Ponots, bien aidés par l’apathie de nos joueurs.
Moins agressifs, plus permissifs, les verts endorment leur public par ce manque récurrent de constance.
Certes, tout le monde a bien compris que l’issue du match ne peux plus nous échapper mais nous allons néanmoins perdre ce quart-temps.

Fin 3ème quart-temps : 72-56

Le dernier quart sera anecdotique pour les deux équipes. L’occasion pour le Puy de faire tourner son effectif déjà amputé d’un de ces meilleurs joueurs et pour le SOPCC d’intégrer un peu plus sa nouvelle recrue prometteuse, Destin Damachoua.
Les Verts vont quand même s’appliquer à quitter le terrain sur une bonne note, en restant rigoureux des deux côtés du terrain pour creuser le plus gros écart du match en cette fin de partie.

Fin du match : 101-64

Cette victoire remet du baume au cœur chez toutes les composantes du club et permet d’envisager le début d’une série victorieuse. Série quasi obligatoire pour nous, si nous voulons tenir le rythme des équipes de tête.
Et pourtant le prochain déplacement au Cannet, très ambitieux et cependant toujours à zéro victoire, ne s’annonce pas de tout repos !

Allez les verts !!!

Article de Jimmy Dumortier